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Bilan Carbone & CSRD : quels liens et quelles complémentarités ?

Avec l’entrée en vigueur de la CSRD, la réalisation d’un Bilan Carbone devient un point de passage capital pour toutes les entreprises concernées. Bien réalisé et bien utilisé, il permet non seulement de comptabiliser les émissions de gaz à effet de serre mais également de mettre en œuvre une stratégie carbone ambitieuse et, ainsi, de répondre en grande partie aux exigences de la norme ESRS E1 de la CSRD qui concerne le changement climatique. Dans cet article, découvrez comment faire du Bilan Carbone de votre entreprise un atout majeur pour votre conformité CSRD !

CSRD : définition et rappel des enjeux

Entrée en vigueur le 1er janvier 2024, la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) renforce et harmonise la divulgation d’informations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) pour les entreprises européennes

En application de cette nouvelle directive, les entreprises concernées doivent établir chaque année un rapport de durabilité conforme à des standards européens, les “normes ESRS” (European Sustainability Reporting Standards). L’objectif est de permettre aux investisseurs et autres parties prenantes d’accéder à des informations pertinentes, fiables et harmonisées en matière de durabilité pour évaluer l'impact des entreprises sur les personnes et l'environnement, ainsi que pour analyser les risques financiers qui y sont liés.

Le premier jeu de normes ESRS, applicable à l’ensemble des secteurs d’activité, a été publié le 31 juillet 2023. Il contient 5 normes thématiques (biodiversité, eau, pollution…) dont une spécialement dédiée au changement climatique : la norme ESRS E1

Concrètement, les données renseignées dans le cadre de cette norme ESRS E1 doivent permettre aux lecteurs du rapport d’obtenir une vision claire sur la manière dont l’entreprise prend en compte le changement climatique dans son modèle d’affaire. Il est aussi question de comprendre comment cette dernière prévoit d’atténuer son impact, notamment par le biais d’une réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.

En pratique, la norme ESRS E1 exige la publication d’un certain nombre de données et notamment : 

  • les émissions brutes de gaz à effet de serre des scopes 1, 2 et 3 de l’entreprise
  • la publication d’une trajectoire carbone et des leviers de décarbonation permettant de l'atteindre

👉 Retrouvez dans cet article l'ensemble des échéances de publication pour les différentes entreprises soumises à la directive.

A noter que la norme ESRS E1 est de facto obligatoire pour toutes les entreprises concernées par la directive CSRD. En pratique, si une entreprise souhaite exclure l'enjeu climatique de son reporting, elle doit démontrer, à travers une analyse détaillée et argumentée, que cet enjeu est "non matériel" pour ses activités, conformément aux exigences de transparence fixées par la directive. On entend par "non matériel" un enjeu qui n'a pas d'impact significatif sur les performances économiques, environnementales ou sociales de l’entreprise, ni sur les attentes de ses parties prenantes. Néanmoins, cette justification paraît délicate dans le sens où toute entreprise émet des gaz à effet de serre et contribue donc forcément dans une certaine mesure au changement climatique…

Pour ce qui est des autres normes ESRS, celles-ci ne sont pas vraiment obligatoires dans le sens où les entreprises peuvent également décider de ne pas divulguer les données si l’enjeu a été identifié comme “non-matériel” dans le cadre de leur analyse de double-matérialité.

👉 Retrouvez une description détaillée des exigences de publication requises au titre de la norme ESRS E1 dans notre article dédié !

Comment se préparer à la CSRD en réalisant son Bilan Carbone ?

La réalisation d’un Bilan Carbone, incluant la définition d’un plan d’action et d’une trajectoire carbone, constitue une étape clé pour répondre aux différentes exigences de publication de la norme ESRS E1 dont voici le détail :

Comptabiliser les émissions de gaz à effet de serre 

L’exigence de publication (Disclosure Requirement) DR6 (Bilan Carbone) et DR5 (relatif à l’énergie) de la norme ESRS E1 impose aux entreprises de publier des données sur leurs émissions brutes de gaz à effet de serre totales et ventilées par catégories d’émissions (scope). 

Cela correspond en pratique à la réalisation d’un Bilan Carbone (entendu comme la stricte comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre) par les entreprises concernées sur leurs scopes 1, 2 et 3

Notons néanmoins que la norme ESRS E1 exige uniquement la prise en compte des émissions de scope 3 dites “significatives”. En pratique, le format attendu correspond donc à celui requis au titre du GHG Protocol et non de la méthode Bilan Carbone® de l’ADEME qui impose la prise en compte de l’intégralité du scope 3 de l’entreprise.

💡Les émissions significatives sont celles qui représentent une part importante des émissions totales de l'entreprise ou qui sont jugées cruciales pour les parties prenantes en raison de leur impact environnemental, économique ou social. À l'inverse, les émissions non significatives, qui ont un impact marginal ou négligeable, peuvent être exclues du périmètre du reporting, sous réserve de justifications claires et documentées.

De plus, selon la norme ESRS E1, les émissions dites significatives du scope 3 doivent être calculées chaque année. Pour ce qui est des postes non significatifs, il est demandé de les mettre à jour au minimum tous les 3 ans. Pour déterminer quels postes sont significatifs, chaque entreprise doit procéder à une évaluation de l’ensemble de ses émissions et les postes non-significatifs ne peuvent pas représenter plus de 20% du total du bilan.

💡 En raison de son périmètre particulièrement vaste, le scope 3 représente en effet dans la plupart des cas la majorité des émissions d’une entreprise. Son absence de prise en compte induit donc nécessairement un résultat imprécis et rend également plus difficile la mise en place d’une stratégie carbone globale réellement efficace par la suite.

Par ailleurs, il faut savoir que la réalisation d’un Bilan Carbone® conformément à la méthodologie de l’ADEME sur l’ensemble des scopes est nécessaire pour obtenir une représentation la plus “réaliste” possible de l’empreinte carbone de l’entreprise. Et une telle représentation permet de construire un plan d’action adapté aux besoins et aux enjeux de l’entreprise. 

 ℹ Notez-le : Les entreprises de moins de 750 salariés peuvent omettre la première année de divulguer leurs émissions de scope 3 et leurs émissions totales de gaz à effet de serre.

DR-5 | Consommation d’énergie DR-6 | Bilan Carbone
Exemples de données à déclarer Exemples de données à déclarer
  • Consommation totale d'énergie produite à partir de sources fossiles (MWh)
  • Consommation totale d'énergie produite à partir de sources nucléaires (MWh)
  • Consommation totale d'énergie produite à partir de sources renouvelables (MWh)
  • Émissions brutes de Scope 1 (tCO2eq)
  • Émissions brutes de Scope 2 (tCO2eq)
  • Émissions brutes de Scope 3 (tCO2eq)
  • Émissions totales de gaz à effet de serre (tCO2eq)
  • Définir un plan d’action de réduction des émissions

    La norme ESRS E1 requiert également des entreprises concernées de publier des données sur leur stratégie climat et, plus précisément, sur leurs actions menées concernant l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. Cela concerne les exigences de publication (Disclosure Requirement)  DR-1, DR-3 et DR-4.

    DR-1 | Plan de transition
    Exemples de données à déclarer

  • Explication de la manière dont les cibles de l'entreprise sont compatibles avec la limitation du réchauffement de la planète à 1,5 °C
  • Description des leviers de décarbonation
  • Description et quantification des investissements et des financements de l'entreprise pour le plan de transition
  • DR-3 | Actions et ressources
    Exemples de données à déclarer

  • Présentation des actions d'atténuation du changement climatique par la décarbonation
  • Montant des CapEx et des OpEx significatives nécessaires à la mise en œuvre des actions (€)
  • DR-4 | Objectifs d'atténuation et d'adaptation
    Exemples de données à déclarer

  • Publication des cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre
  • Explication du cadre et de la méthode utilisés
  • Description des leviers de décarbonation et de leur contribution quantitative à la réalisation des cibles de réduction
  • La définition d’un plan de réduction des émissions constitue donc une étape nécessaire pour garantir une mise en conformité avec le nouveau reporting de durabilité. À ce titre, le choix de réaliser un Bilan Carbone® conformément à la méthodologie de l’ADEME permet d’anticiper ces exigences. Non seulement, la définition d’un plan d’action de réduction ambitieux fait partie intégrante de cette méthode mais, en plus, la vision réaliste des émissions de gaz à effet de serre fournie par cette méthodologie garantit la définition d'un plan d'action cohérent et atteignable.

    Définir une trajectoire carbone conforme à la science

    La définition d’une trajectoire carbone alignée avec un scénario à +1,5°C (DR4) constitue l’une des principales innovations de la norme ESRS E1. Concrètement, cela implique pour les entreprises concernées de déterminer des cibles de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre.

    Ces objectifs doivent être publiés séparément pour les émissions de scope 1, 2 et 3 et inclure au minimum des valeurs cibles pour 2030 et, lorsqu’elles sont disponibles, pour 2050. L’entreprise doit indiquer le cadre et la méthodologie utilisés (par exemple, la Science-Based Target Initiative - SBTi).

    En pratique, la définition d’une trajectoire carbone ambitieuse et pertinente ne peut se faire sans la réalisation préalable d’un Bilan Carbone. Les deux exercices sont donc intimement liés. 

    Notons également qu’une cohérence est attendue entre le plan de réduction des émissions formalisé et la trajectoire de décarbonation établie. Autrement dit, l’entreprise doit indiquer pour les différents leviers de décarbonation leur contribution quantitative à l’atteinte de la trajectoire.

    🔎 Pour en savoir plus sur l’établissement d’une trajectoire carbone d’entreprise et la SBTi, consultez notre article !

    Pour répondre à la norme DR-7 (projet d'absorption de gaz à effet de serre), il est crucial de réaliser un Bilan Carbone. Cette norme exige la déclaration de la quantité totale de gaz à effet de serre absorbée et stockée (en teqCO2), ainsi que des hypothèses et les méthodes utilisées pour les calculs. Réaliser un bilan permet de mesurer les émissions actuelles et donc de déterminer la quantité à séquestrer pour atteindre les objectifs climatiques fixés.

    Pour ce qui est des attendus de la DR-8 (tarification en interne), ils concernent la tarification interne du carbone. Les données à fournir sont le type de mécanisme de tarification interne du carbone et le prix du carbone appliqué en fonction du type de mécanisme. Il s'agit d'intégrer un coût carbone fictif ou réel dans les décisions économiques de l’entreprise afin d’inciter à réduire les émissions et à orienter les investissements vers des solutions bas-carbone. Pour l'année en cours, il est nécessaire de fournir les volumes d'émissions brutes de gaz à effet de serre des scopes 1, 2 et, le cas échéant, du scope 3, exprimés en tonnes équivalent CO2 couverts par ces mécanismes.

    Collecter les informations quantitatives et qualitatives nécessaires

    Au total, la norme ESRS E1 totalise 220 données. Ce qui en fait la norme ESRS avec le plus de données à renseigner. La majorité de ces données sont de nature quantitative (kWh d’énergie consommé, kg de CO2 émis, etc.). D’autres sont narratives ou semi-narratives (la réponse attendue est majoritairement ou partiellement un texte rédigé).

    En fonction de la taille et de la complexité de l’entreprise, le temps nécessaire à la collecte des données nécessaires au reporting CSRD est estimé entre 4 à 6 mois (!). Il est donc vivement recommandé de commencer dès à présent à les collecter notamment en consultant vos parties prenantes. 

    Quels outils et solutions pour réaliser un Bilan Carbone conforme à la CSRD ?

    Outils de mesure et de reporting

    Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à délaisser Excel au profit d’une solution technologique pour la réalisation de leur Bilan Carbone. Cette option présente en effet de nombreux avantages notamment : 

    • un investissement financier moindre que l’accompagnement par un cabinet de conseil 
    • une autonomie et une flexibilité dans la réalisation du Bilan Carbone tout en bénéficiant au besoin d’un accompagnement 
    • un recalcul des bilans historiques selon les évolutions méthodologiques (exemples : changement des FE, évolution de la granularité des DA...)
    • un gain de temps sur l’ensemble de la démarche 
    • une diffusion efficace et simple de l’ensemble des données selon les besoins 
    • une fiabilité due à la précision des calculs par le logiciel
    • une “auditabilité” de vos données*

    Afin d’avoir des calculs auditables, il est nécessaire de disposer pour chacune de ses données de : 

    • informations à la maille de chaque donnée d’activité (incertitude, facteur d’émission…)
    • pièces jointes justificatives au niveau des données d’activité
    • timestamp sur les données
    • sources de chaque facteur d’émission
    • workflow avec validation de chaque donnée
    • documentation des extrapolations 

    Parmi les principales solutions technologiques existantes, on retrouve notamment des outils numériques de comptabilité carbone ou encore des plateformes SaaS de gestion des données telles qu’Aktio. Certaines entreprises font même le choix de développer leur propre logiciel de comptabilité carbone !

    Au-delà des solutions dédiées à la comptabilisation et à l’analyse des données carbone, se développent également de plus en plus de plateformes ESG visant à accompagner les entreprises dans leurs obligations de reporting ESG et, plus spécifiquement, dans leur mise en conformité avec la directive CSRD. 

    Comment bien choisir sa solution ?

    Face à la multiplicité des offres disponibles, le choix d’une solution adaptée et pertinente nécessite une définition claire des besoins de l’entreprise. Cette dernière doit notamment mener une réflexion approfondie sur ses objectifs et ses principaux enjeux et s’interroger sur les données précises qu’elle souhaite collecter et dans quel cadre (obligation de reporting, mise en place et suivi d’une stratégie climat, mesure d'empreinte produit, communication aux investisseurs ou aux clients etc.). 

    D’autres critères doivent également être pris en compte pour vérifier la performance de la solution envisagée et de ses différentes fonctionnalités, notamment : 

    • sa facilité d’utilisation et son ergonomie (prise en main simple et instinctive)
    • sa capacité à gérer tout type de données et à les fiabiliser (détection des erreurs potentielles)
    • son adaptation aux spécificités de l’entreprise et notamment à son secteur d’activité et à sa complexité organisationnelle
    • sa capacité d’évolution et d’adaptation à la fois aux évolutions de l’entreprise et aux exigences réglementaires
    • sa capacité à intégrer et à suivre des plans d’action quantifiés dans le cadre d’une stratégie climat globale

    Plateforme unique CSRD ou outils spécialisés ? 

    Dans le cadre du reporting CSRD, de nombreuses entreprises font le choix d’opter pour une solution logicielle “globale” visant à traiter toutes les problématiques simultanément, par le biais d’un seul et même outil. Si cette solution correspond aux besoins de certaines entreprises, elle ne semble pas toujours constituer la meilleure approche, notamment pour les entreprises dont les problématiques ESG sont particulièrement nombreuses et complexes. 

    Par exemple : 

    • Une entreprise du secteur agro-alimentaire peut avoir besoin d'un outil d'évaluation quantitative de son impact sur la biodiversité (comme Darwin)
    • Une entreprise textile peut avoir besoin de produire les études d'impact de ses produits avec un outil d'ACV (comme Waro)
    • Une entreprise industrielle multi-site peut avoir besoin d'étudier les risques physiques pour chaque site (avec un outil comme AXA Altitude)

    Une plateforme de reporting ESG ne permet pas de répondre à ces besoins spécifiques.

    Pour ces entreprises, il peut être intéressant de combiner plusieurs outils afin de choisir pour chaque enjeu la solution la plus adaptée (bilan et trajectoire carbone, ACV, risques climatiques, biodiversité, traçabilité fournisseurs…). Cette approche, dite “best of breed”, permet à l’entreprise de choisir la meilleure solution existante pour chaque problématique. Ce qui lui garantit un niveau élevé d’expertise et une réelle adaptation de l’outil à l’enjeu traité. 

    Concrètement, en choisissant une solution spécialement dédiée à la réduction de son empreinte carbone, l’entreprise peut aller plus loin dans l’interprétation des données et la mise en place de plans d’action. L’outil permet alors véritablement de piloter la mise en place et le suivi de la stratégie carbone dans l’entreprise et ne se limite pas à un outil de mise en conformité avec la CSRD incluant le sujet carbone comme un enjeu parmi d’autres.

    Cette approche apparaît d’autant plus pertinente que la réduction des émissions constitue la pierre angulaire de l’action climatique pour l’ensemble des entreprises. Traiter cet enjeu par le biais d’une solution dédiée permet de lui donner toute son importance et ainsi garantir la pleine efficacité de la démarche. 

    Accompagnement et expertise

    Au-delà du choix d’une solution technologique adaptée, il est également essentiel de se faire accompagner par des experts pour garantir la conformité avec les exigences réglementaires et réaliser un Bilan Carbone le plus réaliste possible. 

    La directive CSRD constitue en effet une réglementation complexe et diffuse avec de nombreux textes (règlements, normes ESRS, documents d’orientation, etc.). En faisant appel à des personnes maîtrisant parfaitement ce cadre réglementaire, les entreprises s’assurent d’adopter la bonne méthode pour aboutir à un reporting exhaustif et conforme.

    La CSRD est un cadre réglementaire encore très récent et les évolutions qui en découlent promettent de transformer rapidement les attentes et les pratiques des entreprises. Dans ce contexte en constante mutation, il est important de suivre de près les besoins émergents des acteurs du marché ou bien de se fier à des experts en la matière.

    Comment Aktio peut vous accompagner pour votre reporting CSRD

    Aktio peut vous accompagner dans votre mise en conformité avec la CSRD en vous permettant de vous conformer à l’ensemble des attendus de la norme ESRS E1 : 

    • Disclosure Requirements DR5 et DR6 : émissions brutes de scope 1, 2 et 3 et divulgation d’informations détaillées sur votre consommation d’énergie finale

    Concrètement, notre solution vous permet de réaliser votre Bilan Carbone en toute autonomie et en bénéficiant d’une expertise méthodologique de comptabilité carbone intégrée. Dans le cadre de notre offre d’accompagnement, vous êtes accompagné tout au long des différentes étapes de sa réalisation.

    • Disclosure Requirements DR1, DR3 et DR4 : définition d’une trajectoire carbone, démonstration de sa compatibilité avec la science et description des différents leviers de décarbonation

    Concrètement : nous vous accompagnons dans la définition d’une trajectoire carbone en vous appuyant sur les standards de référence (SBTi, Net Zero Initiative, SNBC, etc.) et dans la construction d’un plan d’action de réduction de votre empreinte carbone.

    👉 Contactez nos experts pour engager dès à présent votre mise en conformité !